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Introduction : La tendance urbaine liée au Grand Paris est à la densification urbaine…
Trois voies possibles face aux deux projets de promoteurs : 33 bd de Jardy et 8 avenue des Terrasses…
- Ne baissons pas les bras en arguant de la suppression du Cos, qui empêcherait une politique urbaine maîtrisée.
Passons d’une densification subie à une densification collaborative.
Pour faire simple :
◼︎ La densification lourde et brutale consiste à mettre le maximum d’habitants sur un minimum de surface de terrain (en particulier via des immeubles de 15 à 20 m de haut).
◼︎ L’évolution modérée respecte l’existant, s’appuie sur les initiatives des habitants pour accueillir plus de personnes dans un quartier sans bouleverser les constructions, les formes urbaines, les caractéristiques paysagères ; tout en utilisant au mieux les services disponibles à proximité.
Il est courant dans une famille de pouvoir quand les enfants sont partis ou quand on prend de l’âge : louer une partie de son logement, accueillir d’autres membres de sa famille plus ou moins âgées… faire quelques agrandissements, aménagements et si besoin utiliser au mieux son terrain disponible.
De nombreuses pratiques expérimentales de densification existent dans d’autres pays.
► Notre village de Marnes-La-Coquette vit dans une relative discrétion que l’actualité éclaire parfois…
► Face aux objectifs affirmés de densification lourde par le Grand Paris, ayons des réponses adaptées et personnalisées confortant l’identité et la renommée de notre commune.
► N’oublions pas que la densité ne peut se faire accepter que si elle assure la réalisation d’un projet urbain de qualité de vie et de bien être partagé par tous les habitants.
► Etablissons notre Cahier d’acteurs : Quartier des Terrasses et Domaine de la Marche - Marnes-La-Coquette - Contribution au SCOT Métropole Grand Paris->http://www.marnes-environnement.inf&hellip ;] - comme prévu dans la préparation du SCOT Métropolitain.Poser vos questions, via le forum « Laisser un Commentaire » ci-dessous ; ou par mail,
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◼︎ La densification « douce » au Canada :
« création de nouveaux logements dans les maisons individuelles… s’appuyant sur le système locatif plutôt que sur celui de la construction–vente… ce qui revient à une meilleure utilisation des ressources existantes… aménager des garden suites (pavillons-jardins) ou granny flats (appartements pour grands-parents) ».
◼︎ Les différentes formes de densification douce :
« division parcellaire éventuelle, restructuration de grands pavillons… revenu supplémentaire au propriétaire occupant, contribuer à une utilisation optimale des infrastructures et des réseaux existants… groupements de particuliers constituant des Associations Foncières Urbaines ou de Sociétés Coopératives d’Intérêt Collectif… dans le cadre d’un projet commun…. ».
◼︎ Vers des politiques publiques de densification et d’intensification « douces » ? Intérêts, limites et opportunité (2013-2018) :
« les zones pavillonnaires constituent un enjeu considérable, du fait de l’importance des surfaces urbanisées en jeu… C’est une solution innovante en matière de production de logements… par l’insertion de nouveaux logements (division parcellaire éventuelle, appartements accessoires, division interne, surélévation, extension, restructuration, etc.) qui ne changent pas de manière significative les formes urbaines du quartier en mutation ».
◼︎ La densification pavillonnaire en débat :
« Vivre en pavillon représente encore le projet résidentiel de près de 80 % des ménages… les zones pavillonnaires ne peuvent plus être analysés à travers les seuls prismes de l’urbanité menacée, de la dépendance automobile ou de la sécession socio‑spatiale… Certes il y a difficulté à remettre en question des postures et des pratiques professionnelles solidement établies. »
◼︎ La division des pavillons de banlieue :
"Maisons familiales converties en petits logements locatifs… fort potentiel d’une offre bien insérée dans le réseau de transports de l’agglomération…
◼︎ Le pavillonnaire, « mal-loti » des politiques urbaines ? :
"À l’échelle nationale, le projet de recherche BIMBY piloté par les centres d’études techniques de l’équipement Île-de-France et Normandie–Centre a permis de focaliser l’attention d’habitants, d’élus et d’urbanistes sur les tissus pavillonnaires existants en définissant une nouvelle « filière de production de la ville », fondée sur l’initiative des habitants et la division parcellaire. Ce projet fait écho à la proposition de l’équipe d’architectes LIN dans le cadre de la consultation du Grand Paris en 2008.
◼︎ Rendre acceptable la densité en tissu pavillonnaire :
"Les secteurs plus anciens caractérisés par une forte dimension patrimoniale sont complexes pour la mise en œuvre de projets de densification.
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[1] PLUI : plan local d’urbanisme intercommunal.